
Une question de vie ou de mort.
Cher moniteur, chère monitrice, il y a quelques jours, un petit garçon qui avait participé au club de Pâques chez nous est décédé. En plus de nous sentir triste de perdre un enfant, nous nous posons ces questions dérangeantes : « Avons-nous été clairs dans la présentation du message du salut ? Cet enfant a-t-il su l’occasion de se tourner vers le Seigneur ? » Les enfants ne sont pas meilleurs que les adultes. Ils ont donc aussi besoin du Sauveur. Ne nous lassons